Sur le Zinc

La compétitivité selon Pérec

W ou le souvenir d’enfance (p 217 à 220)

Al Grossman, manager de Bob Dylan et « spin doctor » de l’industrie du disque

Les dessous de la fabrique des icônes

Photojournalisme(s)

Des photos, et du journalisme

La photographie « témoin fidèle » de son temps ?

Fonction documentaire de la photographie

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Expos

Cahier N°II

Cahier N°II. Monceaux Mathieu

Cahier N°I

Cahiers photographies - Mathieu Monceaux

Métamorphoses urbaines, paysages des franges

Mégapole(s)

Bains douches : Photographies d’un contre-espace

Série de photos

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Tératologie

Bob Dylan, un récit initiatique

Sur les premières années de Dylan à New York et les rencontres qui ont marqué son cheminement.

Le corps, la langue, chez Artaud

Artaud le Mômô, Artaud le penseur, le corps, la langue d’Artaud

L’expérience intérieure, communication et poésie chez Georges Bataille

Le schéma de l’expérience intérieure est mystique.

Tropique du Cancer d’Henry Miller

Henry Miller l’écrivain, le viveur, incarne l’athlète, la bête.

En vrac

Pour un cinema VIVANT

Nous travaillons déjà au Cinéma du Monde Libre !

Rencontre avec Salomon

Le réveil a été douloureux. Il s’était extirpé faiblement d’ une de ses innombrables cuites

Prières : en forme d’allégorie

Un être chétif s’agenouille. J’écoute ses prières.

Sérigraphie 3 : Foutreries

Comment se foutre de tout ?

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Je te vomis dessus

A Paris, capitale de la charogne, c’est spotlights sur les cadavres.
Plus t’es mort plus on t’expose.
Avec la chaleur des lampes, ça pue c’est terrible.
Moi ça me fait vomir.


Je te vomis dessus

Catherine Breillat je vomis sur un tampon hygiénique et je le mets dans ta chatte.
Agnès Varda je vomis sur ton casque de cheveux ça coule ça change ça rajeunit.
Jean Luc Godard je te pousse dans l’eau, je te vomis dessus, et comme tu te noies tu avales du vomi.
Alain Resnais je te fais tomber par terre, je te vomis dessus, je pars, je reviens, je te fais tomber dans ton vomi, je te revomis dessus, après je regarde les traces du temps et les couches et les textures.
Parfois on fait un truc, pas du tout pour faire joli, comme vomir sur Alain Resnais, et après on se rend compte qu’on a touché la beauté.
Jacques Doillon je vomis sur ta bite comme tu filmes avec t’en mets partout.
Eugène Green je te vomis dessus 25 fois, et comme tu parles et que je t’aime pas je vomis dans ta bouche. Après je me casse vite fait parce que je voudrais pas que tu retournes le vomis de ta bouche contre moi, j’ai pas envie de me salir.

Je vais au café, je pense à sur qui je vais vomir. La télé est allumée.

Assayas, Beauvois, Delpy, Kounen, Ozon, Almaric, Klapish, je me concentre et je vous asperge d’un seul jet très fort de vomi rouge, bien acide, comme ça ça vous donne des couleurs, je vous recouvre bien, vous pataugez dans le vomi, Julie Delpy elle a comme un masque, quand elle veut parler ça fait des bulles, et quand la bulle éclate ça lui éclabousse les yeux alors elle pleure vu que le vomi c’est acide.

Après je vois un chien alors je pense à Gaspard Noé.

Gaspard Noé je te vomis dessus par derrière et par devant et tu kiffes, ta voix toute douce ça me dégoûte je te frappe avec les pieds parce que je trouve que t’es dégueulasse, tu kiffes, merde je veux me casser mais tu t’accroches à mes jambes en geignant, t’es trop grave, merde ça t’excite, tu me salis le pantalon, putain j’ai du vomi dessus maintenant, putain tu cherches quoi là, vas y lâche ma jambe sale bâtard espèce de sale chien, putain fils de pute me touche pas, mais qu’est-ce tu fais t’es un ouf, enculé de ta mère

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