Sur le Zinc

La compétitivité selon Pérec

W ou le souvenir d’enfance (p 217 à 220)

Al Grossman, manager de Bob Dylan et « spin doctor » de l’industrie du disque

Les dessous de la fabrique des icônes

Photojournalisme(s)

Des photos, et du journalisme

La photographie « témoin fidèle » de son temps ?

Fonction documentaire de la photographie

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Expos

Cahier N°II

Cahier N°II. Monceaux Mathieu

Cahier N°I

Cahiers photographies - Mathieu Monceaux

Métamorphoses urbaines, paysages des franges

Mégapole(s)

Bains douches : Photographies d’un contre-espace

Série de photos

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Tératologie

Bob Dylan, un récit initiatique

Sur les premières années de Dylan à New York et les rencontres qui ont marqué son cheminement.

Le corps, la langue, chez Artaud

Artaud le Mômô, Artaud le penseur, le corps, la langue d’Artaud

L’expérience intérieure, communication et poésie chez Georges Bataille

Le schéma de l’expérience intérieure est mystique.

Tropique du Cancer d’Henry Miller

Henry Miller l’écrivain, le viveur, incarne l’athlète, la bête.

Sur le cinéma

C’est le 13 février 1895 qu’Auguste et Louis Lumière déposent leur brevet sur le « cinématographe » . Le terme de « cinématographe » a déjà été créé et déposé par Léon Bouly en 1892 pour désigner l’appareil de prise de vues de son invention. Mais faute de paiement d’annuité en 1894, le nom devint disponible et repris par les Lumière[1].

Leur père Antoine Lumière proposait, lui, une dénomination plus commerciale : le « Domitor ». « Ce sont eux — dit-il dans ses Mémoires — qui ont inventé le cinématographe et lui ont donné son nom scientifique, nom qui a permis à tous les imitateurs et contrefacteurs de l’employer impunément, les noms scientifiques appartenant à tout le monde. »


Pour un cinema VIVANT

Pour un cinema VIVANT

Ô monde vivant ! Ô humanité ! Les Hommes sont là dans la rue, dans les immeubles, les cafés, les entreprises, on peut les voir vivre tels qu’ils sont complexes, tourmentés et gracieux, d’une beauté d’usine, de RER, à les regarder ça fait pleurer à cause de l’amour, de la souffrance, du travail, de la maladie, de la noblesse, de la télévision, des violences portées, des odeur d’arbres et d’essence, de la (...)

Février 2011

Je te vomis dessus

Je te vomis dessus

A Paris, capitale de la charogne, c’est spotlights sur les cadavres. Plus t’es mort plus on t’expose. Avec la chaleur des lampes, ça pue c’est terrible. Moi ça me fait vomir.

Janvier 2011

Le trou érectile

Le trou érectile

La sensation de te pénétrer, je la connaissais d’avant. Ce que jamais encore je n’avais senti, la jointure courbe du sexe au bas-ventre ; cela qui nous séparait, je le porte aujourd’hui au poignet, renversé et définitif. La caméra s’est levée. Entre toutes les choses du monde, on a zoomé dans un trou, et c’était (...)

Janvier 2011

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